COMMENTAIRE – Et à la fin, qui… gagne?

COMMENTAIRE – Et à la fin, qui… gagne?

Toffoli marque le 4-2 - Photo: Cap/IIHF

Commentaire
Christoph Yavkin

Qui ne connaît pas cette expression pour l’avoir cent fois retournée dans son langage en parlant du… football naturellement. Et les tendances s’y sont (enfin) dissipées.

Alors ici, c’est une formule qu’on osait prévoir et comme je le craignais il y a moins d’une semaine, le championnat du monde de 2023 accouche d’un piètre titré, ayant tiré parti des insuffisances et lacunes, le tout cumulé, adverses. Très petitement, sans génie mais cela suffit. Et devrait suffire à faire réfléchir tous les autres prétendants. Devrait… Mais le doute est plus ancré que la rouille.

Revers réjouissant de médailles de la teinte que vous voudrez, de dignes lettons et comme à leur habitude mais cette fois-ci dans le meilleur des sens, et quoique très réduits dans leur collectif, de très convaincants allemands ont mis précisément un peu de la couleur de ces médailles dans l’exhibition. Noebels, vous connaissez? Buteur décisif dans la dernière minute de la demi-finale face aux USA, auteur du penalty victorieux contre la Suisse il y a deux ans.

En fin de compte, l’histoire se répète donc, inexorablement. L’énergie génétique des Canadiens, qu’on et que la duchesse pourtant aussi, archi-sait, suffit à une équipe de caribous extrêmement affaiblie, pour triompher. Et là, rien qu’avec le terme dont on use pour désigner un champion, on est déjà à côté de la plaque et du disque. Las, la mélodie est la même, il s’agit d’envoyer celui-ci au plus adéquat des moments possibles entre les montants, pour en faire un hit, au diable les graphiques.

National League
Swiss League
Prochains matchs NL
Prochains matchs SL
Prochains matchs MHL
Prochains matchs WL
Prochains matchs U20 Elite

>>>

>>>

Est-ce que vous désirez être averti(e) par notification pour les nouvelles actualités?
Oui, très volontiers Non merci