Finalement, l’idée n’est pas si farfelue que cela. Le coronavirus empêche le coup d’envoi de la saison régulière de National Hockey League en raison du grand nombre d’équipes (31) et des problèmes liés à leurs déplacements? Alors pourquoi ne pas limiter les risques en – dans un premier temps – regrouper les équipes géographiquement? Un remaniement des divisions, en quelque sorte, qui verrait, par exemple, les sept franchises canadiennes se retrouver dans la même poule. Les Canucks (Vancouver), les Flames (Calgary), les Oilers (Edmonton), les Jets (Winnipeg), les Maple Leafs (Toronto), les Sénateurs (Ottawa) et le Canadien (Montréal) pourraient donc se rencontrer plus souvent et voyager moins. La perspective? Faciliter la logistique alors que les frontières sont bien compliquées à passer actuellement. Une façon aussi de jouer une saison (à 48 matches?) avant les séries éliminatoires durant une année olympique. Or, la NHL ne veut pas jouer en été et surtout pas pendant les JO de Tokyo. Techniquement, Gary Bettman, le patron de la ligue, entretient encore l’espoir d’ouvrir la prochaine saison le 1er janvier. Pour un exercice régulier à 82 matches…
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