EHC Biel/Bienne – Genève-Servette HC: 7-4 (3-2, 1-1, 3-1)
Tissot Arena, Biel/Bienne – Spect.: 6’054 – Arb.: Michaël Tscherrig (86), Stefan Hürlimann (13), Stany Gnemmi (81), Dario Fuchs (67) – SOG: 30-28.
BUTS: 1ère (00:16) Heponiemi (Andersson, Grossmann) 1-0; 5e Praplan (Lennström) 1-1; 6e Heponiemi (Grossmann) 2-1; 12e Bachofner (Tanner) 3-1; 19e Pouliot (Hartikainen, Manninen / PP1) 3-2; 27e Hofer (Blessing, Zryd) 4-2; 40e (39:20) Hischier (Chanton) 4-3; 48e Hofer (Andersson, Dionicio / PP1) 5-3; 51e Greco (Kneubuehler) 6-3; 56e Greco (Kneubuehler, Müller) 7-3; 60e (59:59) Praplan (Berni, Hartikainen) 7-4.
Servette relancé? Bienne a trouvé le moyen de calmer d’emblée les Aigles en ouvrant la marque après… 16 secondes par Aleksi Heponiemi. Les Grenats ne sont pas vraiment dans le coup, mais parviennent à égaliser grâce à un but contre son camp attribué à Vincent Praplan. Pour faire meilleure figure, il aurait aussi fallu que le portier genevois Robert Mayer soit dans un bon soir. Or, il n’a pas été très convaincant sur les deux premières réussites biennoises. On retiendra encore le jeu très ouvert de cette 1ère période qui aboutit au 3-1 de Johnny Kneubuehler et au 3-2 de Marc-Antoine Pouliot. Finalement un match plutôt plaisant… pour les fans. Moins pour les coaches.
En deuxième période, les Biennois se montrent plus agressifs. Genève est surtout dangereux en supériorité numérique, mais se rate. Cela a pesé sur la suite du match. À la 27e minute, Fabio Hofer inscrit le 4 à 2 qui aurait pu être rédhibitoire si Luca Hischier n’avait pas réduit l’écart à 40 secondes de la sirène.
En 3e période, deux minutes sifflées contre Mayer allait une nouvelle fois stopper la bonne volonté genevoise. Hofer en profite pour inscrire son No 2 que les Aigles ont eu beaucoup de mal à digérer. Le 6-3 d’Anthony Greco, magnifique, allait définitivement clore le bec des visiteurs. Ce dernier s’est même fait un deuxième petit plaisir en signant le 7-3 à la 56e minute pour une soirée qui relance un peu plus BIenne et qui replonge Genève dans les affres de la lutte… pour l’antépénultième place.
