Le cas de l’entraîneur national Kari Jalonen semblait réglé, les membres de la Fédération tchèque, dans leur majorité, n’étant pas satisfait des derniers entretiens avec celui qui avait emmené la Finlande vers les plus grands honneurs olympiques et mondiaux.
Mais il y a quelques voix discordantes, dont celle – qui pèse encore fort – de Jaromir Jagr, l’un des onze membres du comité exécutif de la fédération. Le propriétaire des Kladno Knights tente de calmer les débats: «Soyez patients, il n’y a pas d’urgence.»
Jagr a été contrarié par l’interview de Jakub Voracek dans iSport, dans laquelle il a critiqué la façon dont l’avenir de Jalonen est géré. Il l’a dit sur les réseaux sociaux: «M. Voracek, avant de prendre l’étape B, soyez sûr à 100 % qu’elle est meilleure que l’étape A».
Et dans iSport toujours, Jagr répond à ceux qui ont traité Jalonen d’idiot: «Idiot ? Si vous regardez les choses de cette façon, ils m’ont pris pour un idiot pendant les 24 années où j’ai été dans la NHL.»
